Un gentleman pour deux [Pv Tom & Jenny][Finit]

Bill adorait toutes les allusions perverses que faisait son fiancé, il trouvait ca terriblement excitant. Il avait l’impression que Tom avait joué ce rôle toute sa vie, qu’il avait toujours fait semblant d’être cet homme riche, viril & pervers qu’il avait sous ses yeux, il avait l’impression que Tom faisait partit de son monde. Il profitait de chaque caresse et chaque baiser espérant que l’alcool rendrait Tom encore plus obsédé par son corps. Ils sortirent de la maison et Bill verrouilla la porte derrière eux avant de glisser les clés dans l’une des grandes poches du dreadé, ils descendirent au parking et Bill grimpa côté passager en ayant le privilège que Tom joue les gentlemen et lui ouvre la portière. Il remarqua bien sur que Jenny n’eu pas le droit à cette attention mais il ne pouvait pas non plus réclamer ce genre de chose. Tom grimpa à ses côtés et mit le contact. Ils sortirent doucement du parking et Bill soupira d’agacement à la vue du compteur quand Tom accéléra d’un coup Bill fut énormément surpris mais il était ravis.

- Tu es dingue mon amour. Je t’aime encore pl us quand tu es comme ca.

Il ce pencha et lui posa un baiser sur la joue, il aimait de plus en plus Tom au fil des minutes. Bien sur que Tom roule comme un chauffard ou comme un escargot ne changeait pas réellement la nature de ses sentiments mais c’était un petit plus agréable, tout ce que s’apprêtait à faire Tom ce soit serais des bonus qui allait faire que Bill serait encore plus certain que Tom était l’homme de sa vie. Ils se garèrent devant le Flandrin et des voiturier arrivèrent ouvrant les portière pour qu’ils sortent tous en délicatesse. Les employer n’avaient pas besoin de savoir qui était dans la voiture pour ce montrer poli, quiconque conduisait ce genre de Ferrari devait être servis comme un roi. Bill fit un magnifique sourire à Tom et il s’agrippa à son bras comme si ils étaient mariés depuis des années tandis qu’il tenait Jenny avec son autre main. Arriver devant l’entrée ils se stoppèrent, Bill attendait que Tom demande une table pour trois, même s’ils n’avaient pas de réservation, il priait pour que Tom ait le bon sens que dire qu’il voulait une table au nom de « Tom C.Keller », cela ferait directement peur à l’employer. Ils entrèrent sans problème, Tom avait même réussit à leur trouver une place en terrasse dans un petit coin tranquille, Bill ne pouvait que soupirer de bien être. Il s’assit entre Jenny et Tom posant délicatement sa veste sur son dossier et son sac à main par terre, de toute façon ici personne ne lui volerais et puis il avait super man à ses côtés. Il sortit juste son paquet de clope et son Dupont allumant une cigarette juste après avoir remercier Tom d’un baiser.

- Tu nous à vraiment trouver une table parfaite. Tu es doué pour jouer ce rôle mon amour, si je n’était pas déjà ton fiancé crois moi je me serais jeté sur toi.

Il rigola et le serveur leur apporta les cartes tout en leur servant des Vodkas et des petits fours pour l’apéritif. Bill piqua presque toutes les mini-quiches du plateau pour les poser dans son assiette afin de se les réserver. Ca ne ce faisait pas et il n’avait pas à craindre de l’appétit de sa meilleure amie mais il était sur que Tom allait essayer de les lui piquer. Il attrapa le menu – qui n’avait que très peu changé depuis son dernier passage – et fit rapidement son choix sans même regarder les prix. Il vit Jenny pas vraiment emballé par le menu et il lui fit un sourire rassurant, histoire qu’elle prenne de toute même si elle ne mangeait pas, au pire Bill finirait son assiette.

- Alors moi en entrée je pendrais : le fois gras au truffes et ensuite j’aimerais le machin spécial de poisson pour deux personnes. Tu es d’accord Tomi ? Mais par pitié je ne veux aucune arrêtes sinon je pique ma crise, puis je prendrais l’assiette de fruit rouge en dessert, comme d’habitude.

Il sourit et loucha sur la carte des vins, ce n’était pas à lui de commander le vin mais au gentleman de la soirée, il prit quand même soin d’aider Tom faisant un petit trou dans la carte avec un cure-dent pour que Tom sache quel vin il devait demander, il fit même deux trous pour lui signifier qu’il faudrait deux bouteilles. Puis il reposa la carte l’air de rien.

- Tu prendras quoi mon amour ?

Tom ce débrouillait comme un chef, même si des « mon cœur » et « mon amour » peu appropriés se glissaient dans la conversation toute cette mascarade avait l’air de tenir la route. Il laissa Jenny lui piquer sa clope et il vit dans son moment d’inattention Tom lui piquer une de ses mini-quiches. Il fit semblant de bouder et commença à disputer Tom juste pour la forme, juste pour le plaisir de mettre un peu de naïveté dans leur soirée, ils en auraient besoin enfin surtout Tom.

- Ce n’est vraiment pas digne d’un gentleman de piquer dans l’assiette de son partenaire surtout quand on est accompagné en plus d’une charmante invitée.

Il lui tira la langue et lui vola un baiser pour toute punition, il avait bien évidement désigné Jenny comme étant la charmante invitée. Il prit un de petit four qu’il avait dans son assiette – choisissant exprès le plus petit – et il le posa dans son assiette avec un sourire confiant. Il savait que son amie ne mangerait pas beaucoup mais il voulait au moins qu’elle fasse l’effort de grignoter un peu de tout, sinon elle ne tiendrait pas la soirée entre drogue et alcool. Bill lui mangeait l’apéritif à une vitesse folle, sa gourmandise finirait sans doute par le rattraper mais pour le moment peu importe ce qu’il mangeait il ne prenait pas un gramme, il n’avait donc aucune raison de ce priver. Le serveur revint avec les entrées de chacun et il servit le vin. L’androgyne l’en remercia juste par politesse, au fond il ne faisait que son boulot. Il attrapa son couteau et ses toasts commençant à manger doucement ce qui était dans son assiette. Bill devait avouer qu’il ne se souciait guère des règles de politesse, après tout ils n’étaient qu’au Flandrin. Il scruta le restaurant des yeux en quête de potins quand il remarqua non loin de là le fils d’un PDG très connu avec qu’il il avait faillit ce maquer juste parce qu’il avait des putains de yeux vers et presque huit zéro à son compte bancaire. Il tapota doucement sur le bras de Jenny avant de lui faire un signe de tête pour lui montrer qui était là.

- Qu’est ce qu’il fou ici avec Tatiana ? Je croyais que cette blondasse avait été envoyé faire ses études je ne sais plus ou par ses parents. Et lui, surtout lui qu’est ce qu’il fou à Paris ? La dernière fois que je l’aie vu il partait pour implanter sa société à New York. Andrew était sensé me prévenir de son retour.

Bill faisait une moue interrogatrice tout en mangeant l’air de rien, même si tout le monde parlait sur tout le monde il fallait faire comme si de rien était. Il regardait Jenny avec intensité, s’attendant à ce qu’elle lui donne toutes les infos qu’elle avait. Bien sur il savait qu’elle n’était pas beaucoup sortit ses derniers temps mais il savait que malgré la déprime Jenny serait toujours fidèle aux magasines et aux potins, c’était le meilleur remède contre le blues. De son autre côté il vit Tom l’air plutôt curieux qui avait surement très envie de s’avoir qui était le jeune homme dont Bill parlait avec un air aussi surpris.

Bill faillit presque s’étouffer en entendant que cette pétasse de Tatiana essayait de ce faire passer la bague au doigt par lui. C’était quand même invraisemblable qu’il tombe si bas. Certes le jeune homme avait toujours eux un gout douteux et avait toujours tenté de cacher son côté « gay » aux gens de leur milieu mais de là à faire semblant qu’il allait épouser Tatiana sa dépassait son entendement.

- Franchement j’ai du mal à le croire et j’ai encore plus de mal à croire qu’Andrew ne me l’aie pas dit. Et puis de toute façon il n’a pas à venir diner ici quand j’y suis, c’est mon quartier lui il est partit faire sa vie à New York qu’il y reste bon dieu.

Il leva les yeux au ciel près à ajouter quelque chose quand il vit monsieur Andrews lui passer devant. Il fit d’abord les gros yeux plutôt surpris de le voir aussi bien accompagné juste quelques semaines après la mort de sa femme. Il attendit qu’il parte et envoya un regard noir et plutôt dissuasif à toutes les tables qui tentait ne serais-ce que de faire une quelconque remarque déplacée. Le premier qui la ramenait aurait à faire à lui. Il attrapa la main de Jenny et la fit se rassoir gracieusement sur sa chaise jouant le jeu lui filant un de ses bijoux.

- Tient j’ai retrouvé ton bracelet, il avait glissé sous ma chaise.

Il lui fit un sourire charmant et puis il attendit que le temps passe un peu histoire de ne pas mettre d’huile sur le feu. Il trouvait sa quand même aberrant qu’après plus de vingt ans de vie commune il ne soit pas plus touché par la mort de celle qui avait partagé sa vie. Il posa son regard sur Tom songeant à comment lui réagirait si Tom venait à quitter le monde des vivants et son cœur ce serra, il attrapa la main de son fiancé la serrant fort dans la sienne avant de ce retourner vers sa meilleure amie.

- Ton père est franchement un connard. Heureusement que tu ne le vois jamais.

Bill ne pouvait que sourire de l’attitude de Tom, c’était tellement dur d’être une garce avec Tom que le brun ne savait vraiment pas comment il allait faire pour tenir toute la soirée, d’autant plus qu’il avait énormément envie de lui grimper dessus et de presque le violer sur place tellement il le trouvait sexy ce soir.

- Oh mais personne n’a dit que je devais être galant. C’est toi le gentleman de la soirée, moi je suis juste une abominable petite peste. J’ai donc le droit de piquer tout l’apéritif si je veux.

Il rigola lui faisant un petit clin d’œil. Bill aurait volontiers embrassé Tom de nouveau mais il devait instaurer une distance entre eux. Il focalisa donc son attention sur sa conversation avec Jenny même s’il garda leurs mains enlacer.

- Ne dit pas ca tu mérites que ton père ce montre un peu plus respectueux quand même. Là ce n’est même pas une question de respect envers toi c’est tout d’abord du respect pour les morts. Il agit comme si cette poupée siliconée avait toujours été dans sa vie alors que dans un mois il en aura encore changé.

Bill lui souriait tendrement tendit qu'il fixait la table voisine, enfin jusqu'a ce que le sujet principal de conversation précédente finisse par le remarquer. Il soupira et tourna directement la tête en levant les yeux aux ciels avant de prendre son air le plus garce possible, il sentait que la conversation n'allait pas être juste amicale.

- Bill ! Quelle surprise de te voir ici, ca me fait vraiment plaisir. Tu es charmante compagnie à ce que je vois. Tu as trouvé à remplaçant à mon poste on dirait.

- Stéphan… Sache que c’est un plaisir non partagé et que c’est plutôt à moi d’être surpris de te voir ici, j’avais eu le plaisir d’apprendre que tu t’étais laissé crevé quelque par aux Usa, tu n’imagines pas ma déception maintenant que je sais que ca n’est pas le cas. Et puis je n’aie même pas eu à te remplacer parce que de toute façon tu n’avais rien de bien que je voulais garder.

- Oh, vraiment… Même pas les huit zéro de mon compte bancaire ? Pourtant ca t’aurais bien arrangé de te faire entretenir pour le restant de tes jours. C’est vraiment dommage que ca n'aie pas marcher.

- Ne te fais pas de soucis pour moi tu vois j’ai trouvé quelqu’un de bien mieux avec qui partager ma vie et ce quelqu’un est bien plus délicat et attentionné que toi pour s’occuper de moi. Et puis ce n'était pas de ma faute si Alexis savait mieux ce servir de son entre jambe que toi, franchement tu crois que j'avais que ca à foutre de t'apprendre à baiser ? Tu rêves. Et puis tu sais moi plus y’a de zéro sur le chèque plus je les aime alors là crois moi j'ai trouvé l'ame soeur. Sur ce tu ferais mieux de retourner avec ta pute ca va lui manquer de ne plus avoir quelque chose entre les jambes. Après tout elle est habituée à avoir tout les trous bouchés.

Le regard de Bill était vraiment mauvais et il devait avouer qu’il était vraiment vulgaire mais peu importe. Il savait qu’il avait légèrement mentit en disant que Tom était plus riche que Stéphan et surtout que c’était lui qui entretenait Tom mais quel importance, il priait juste pour que Jenny ne balance pas la vérité. Mais il lui faisait confiance il savait que ce n’était pas parce qu’elle haïssait Tom qu’elle ferait quoi que ce soit qui pourrait lui faire du mal. L’homme aux yeux verts regard Bill d’un œil vraiment mauvais, près à répliquer. Il était vraiment dégouté que Bill ait trouvé mieux que lui. Il fit carrément les yeux ronds quand il remarqua l’alliance du brun. Bill était vraiment une trainée, près à épouser n’importe qui pour son fric.

- Ne parle pas d’elle comme ca et puis franchement regarde toi avant de parler parce que en matière de pute je crois que toi aussi tu es pas mal, tu as je crois même plus l’habitude qu’elle d’avoir les trous bouchés.

Le regard de Bill devint directement noir il attrapa son verre et le lui balança dans la gueule laissant le vin se renverser sur lui et le verre en cristal s’exploser sur le sol faisant se poser tout les regards sur eux. Il se leva et lui colla une gifle monumental juste au moment ou Tatiana débarqua. Bill la regarda juste avec dégout.

- Tu devrais ramener ta pute chez toi avant de t’attirer des ennuis plus gros que ce que tu ne peux gérer. Paris c’est chez moi et tu n’es plus le bienvenu depuis longtemps alors fiche le camp.

Le brun ce rassit leur faisant dos avant de réclamer un nouveau verre au serveur qui lui en apporta un sur le champ, il le remplit buvant d’une traite tandis qu’au lieu de les entendre partir il les entendit retourner à leur place.

Le brun regardait son ami d’un air neutre même si au fond il était peiné. Ses parents avaient joué le jeu comme tout le monde certes mais il trouvait ca débile de jouer la comédie. Les gens de leur milieu ne pensait qu’a sauver les apparences et la Mr Andrews venait juste de détruire son apparence de famille parfaite, quel crétin. Franchement, à ce montrer ainsi en publique il passait juste pour un enfoiré qui avait passé les vingt dernières années à attendre la mort de sa femme.

- Ma mère au moins elle a eu la décence de quitter mon père quand elle ne voulait plus de lui. Je préfère franchement les divorces brutaux que tout ses gens qui font semblant. Et puis dans un divorce c’est plus marrant. Y’a les deux ans d’engueulade et de hurlement incessant pour savoir qui va récupérer le moindre objet, du petit magnet sur le frigo jusqu'à la grosse Ferrari.

Il rigola, combien de fois on lui avait rapporté les divorces d’un tel ou un tel et combien de fois ce genre de récit ne l’avait t’il pas fait rire. Quelque part il adorait tout ses gens stupides qui ce mariait sur un coup de tête, d’abord il était invité au mariage et il pouvait passer la soirée à dragué tout les célibataire invité et puis quelques années plus il pouvait rire de leur séparation. C’était franchement un comportement méchant mais le brun adorait faire ca. Un fois rassit Bill tenta de ce calmer mais il n’avait qu’une seule envie c’était de ce relever et d’aller coller son poing dans le nez d’une des deux personnes derrière lui, à choisir il commencerait surement par Tatiana après tout elle n’était plus à une rhinoplastie près.

- C’est juste une trainée. Franchement j’aie du mal à croire qu’il ait osé me comparer à elle quoi. Franchement moi être pire que Tatiana ? Déjà personne ne peu être pire qu’elle et puis même si j’étais de ce genre de petite pute je serais toujours mieux qu’elle.

Bill poussa son assiette, tout ca lui avait franchement coupé l’appétit. Et puis il savait bien qu'il n'était pas ce genre de trainée, il était plutôt sélectif dans le choix de ses partenaires et désormais son seul partenaire était Appollon en personne alors il n'avait pas à ce faire traité de pute de la sorte. Il prit la bouteille de vin qui était ouverte et attrapa l’autre ce levant. Faisant signe à Tom qu’ils payaient l’addition et qu’ils partaient, de toute façon Jenny ne mangerait pas et lui avait juste une envie de meurtre. Il laissa Tom laisser généreusement 500€ sur la table puis il s’agrippa à son bras. Tout en ce dirigeant vers la sortit Bill passa bien exprès devant la table de l’autre prostitué et regarda la bouteille vide et il la lui versa sur la tête d’un air vraiment désolé comme si ce n’était pas fait exprès. Il rigola puis il rattrapa Tom à l’extérieur, tandis qu’il riait aux éclats avec Jenny. Un fois dehors il fila à Tom la bouteille pleine et il chercha la voiture de Stephan il n’eu aucun mal à trouver sa sublime Audi blanche et il rigola. Il attendit que Tom soit au volant de la Ferrari & que Jenny sois bien installé avant de balancer la bouteille dans le pare-brise de la sublime voiture. Il grimpa aussi vite qu’il pu dans la Ferrari et fit signe à Tom de démarrer en vitesse. Ce connard l’avait bien mérité.

Bill profitait que Tom roule vite, cela lui faisait un bien fou. Il laissa la vitre ouverte laissant l’air faire voler doucement ses cheveux. Il rigola à la remarque de Jenny, c’est vrai que crever les pneus aurait été plus subtile mais il n’y avait pas pensé et puis là ca voiture aillait être bien dégueulasse, il ne pourrait même pas la conduire pour rentrer chez lui puisque tout le verre c’était répandu sur les sièges.

- Si jamais je le croise avec une autre voiture on crèvera les pneus c’est promis.

Il avait bien remarqué que Tom avait eu l’air déçu que Bill abime une telle voiture mais il se promit de ce rattraper, Tom aurait un jour une voiture bien plus belle le brun le promettait. Tom s’arrêta quelques minutes plus tard freinant brutalement et faisant rire l’androgyne qui fut coupé par un baiser passionné. Bill s’agrippa par reflex au t-shirt de Tom pour le sentir encore plus contre lui, il avait tellement besoin de ce contact, il avait tellement envie de montrer au monde entier que Tom était rien qu’a lui et que personne ne pourrais jamais le lui prendre. Il sourit à la tirade rassurante de son fiancé l’embrassant de nouveau.

- On va Boulevard de Clichy, ensuite ca sera l’un des nombreux sexes shop du quartier. Tu cherche une Porsche noir immatriculé 220ALX75, c’est la voiture d’Alexis, tu te gares et l’un des gars de l’entrée ira garer la voiture au parking souterrain.

Il lui sourit et profita d’un énième baiser avant que Tom ne démarre comme un dingue. Il attrapa sa trousse à maquillage et profita d’un peu de temps libre pour ce remaquillé, nullement déstabilisé par la vitesse ou les freinages brutaux. Il posa une dernière touche de gloss sur ses lèvres parfaites s’admirant dans le miroir. Son regard charbonneux et ses lèvres qui avaient l’air si gouteuses incitaient directement à la débauche, il allait rendre dingue tout le monde. Il reboucha le tube et se retourna le tendant à Jenny.

- Tu veux faire une petite retouche ?