Retour de vacances [Pv Bill & Jenny][Finit]

Leur seule chance de pouvoir échapper au besoin d'argent. Ils pouvaient devenir riche sans même l'héritage de leur parent. Ils avaient trouvé un moyen de pouvoir vivre sans se faire entretenir par quelqu'un. Et le tout sans vraiment d'effort en fait ! La mode était tellement naturelle pour eux, tout comme la publicité, que ça ne serait vraiment pas un problème. Ils n'allaient pas laisser passer ça. Hors de questions ! Ils voulaient tout deux réussir et ils y arriveraient avec facilité comme toujours.

C'est parfait si tu as déjà fait quelque chose. Sur ce point là je te fais entièrement confiance et de cette manière nous n'aurons plus qu'a renouvelé puisque tu touches déjà tous les marchés intéressants. Pour le local on ne devrait pas avoir trop de problème, au pire je suis certaine que de bons emplacements se libéreront comme par magie pour nous... Il faut qu'on nous remarque.

Une bouteille de champagne pour fêter leur entreprise, c'était une vraie bonne idée. Elle se leva, puisqu'elle avait viré tout son personnel pour la soirée, et partit voir ce qu'elle avait en rayon. Evidemment, elle ne possédait pas le fameux champagne avec des morceaux d'or mais elle avait une excellente bouteille. Le genre de bouteille qu'on ouvre pour les mariages de jeunes gens riche justement. Elle partit chercher deux coupes et retourna vers Bill. Elle fit sauter le bouchon comme une vraie pro et les servit rapidement. Elle entraîna le tout dans le salon se disant qu'on ne pouvait décidément pas trinquer a table et posa le tour sur une table basse. Elle attrapa une coupe, la tendit à Bill, attrapa l'autre et s'assit dans le canapé, attendant simplement que son ami fasse de même.

Bill ne pouvait s’empêcher de sourire, leur plan était parfait et il n’aurait aucun mal à le concrétiser puisqu’ils avaient déjà toutes les cartes en main pour réussir. La fashion-week n’allait pas tarder et cela leur laissait donc un peu de temps pour avoir quelque chose à présenter. Ils n’auraient même pas besoin d’engager des mannequins anorexiques, ils étaient parfait et pouvaient donc jouer sur les deux tableaux être mannequin et créateur de la marque. Ils empocheraient double profits et dépenserait moins pour des travailleurs incompétents.

- Ne t’en fait pas on va réussir, on donnera des interviews, on en parlera à la vente aux enchères et puis à la fashion-week et on pourra aussi ce faire un peu de pub durant toutes les soirées ou on est invité. On organisera une soirée mémorable pour le lancement de la marque et tu verras les ventes vont décoller. On à plus qu’a trouver un nom. Et quand on aura réussis même nos parents n’auront plus rien à nous dire on sera totalement libre.

Il alla rejoindre Jenny sur le canapé s’asseyant avec délicatesse et grâce comme à son habitude. Il attrapa la coupe avec ses fins doigts manucuré et la leva ca coupe pour trinquer.

- A notre future entreprise.

La liberté au bout du chemin, elle la voyait d'ici. Elle s'entendait déjà envoyer balader toutes les personnes qui se permettaient de lui faire des remarques sous prétexte qu'elle vivait grâce à leur argent. Elle échapperait au mari riche, enfin elle pourrait chercher quelqu'un qu'elle aime ! Elle sentait que son ami aussi s'imaginait déjà cette liberté nouvelle et rien au monde ne pourrait les en empêcher. Il n'y aurait plus jamais de poids sur leur épaules, ils pourraient enfin respirer.

J'ai déjà hâte d'être a la soirée de lancement, j'imagine a quelle point ça fera parler de nous, a quel point ce sera beau... Jamais personne ne pourra nous arriver à la cheville. Le nom doit être simple à retenir, et surtout avoir un certain charme, mais pas trop non plus... Il ne faut pas faire prétentieux. Quand nous aurons réussit nos parents vont pleurer de ne plus avoir d'influence sur nous, que l'on se foute de leur héritage et de leur argent. On aura réussi par nous même, on aura fait quelque chose de notre vie...

Ils étaient maintenant dans le salon et Bill avait porté un toast à leur future entreprise. C'était tellement excitant qu'elle avait du mal à cacher sa joie, à se contrôler comme à son habitude.

A notre futur entreprise, et a nous aussi. A notre amitié et notre futur collaboration.

Sans cette amitié si étonnante dans leur milieu, ils n'en seraient jamais arrivés là. Elle était même certaine qu'elle serait totalement shootée 24 heures sur 24 pour oublier qu'elle n'a pas d'amis.

Bill était vraiment ravi leur projet avait tout pour réussir de plus ils avaient largement les fonds pour investir et faire de la marchandise de qualité. Il trinqua et bu tranquillement désormais rien ne pourrait les arrêtait il était parfait, jeunes, beaux et leur duo était explosif et sans faille. Ils s’étaient parfaitement trouvé et rien ne pourrait plus ce mettre sur leur chemin.

- Alors on a plus qu’à trouver un nom. Il nous faudrait quelque chose de simple et de pas trop long. Quelque chose qui se retienne et avec lequel on puisse griffer nos créations.

Il scruta le salon avant de tomber sur les lunettes dolce & gabana de Jenny. Un sourire alla ce poser sur ses lèvres il avait trouvé. Facile, que l’on peu raccourcir, à double sens et qui ce retient au premier coup d’œil.

- J&B, c’est simple mais on ne peu pas le louper et ca peu avoir deux signification ou bien Jeune & Beau ou bien Jenny & Bill c’est au choix. On peu même jouer sur cette ambigüité je pense. Prononcer avec l’accent américain je pense que l’on peu le caser partout.

Le brun attendait approbation mais il lui semblait que ce nom n’était pas une si mauvaise idée. Après il ne lui restait plus qu’a trouver le graphisme et les couleurs des lettres. Avec ce genre de nom ils pourraient ce permettre de mettre un prix exorbitant sur leurs vêtement.

J&B ? Il était fort pour déjà avoir trouvé des idées. Elle réfléchit un instant. Il avait raison c'était simple, avec possibilité de raccourcit et a plusieurs signification. Seulement il fallait se mettre d'accord sur sa signification dès le début. Elle hésité encore entre Jeune & Beau et Jenny & Bill...

Peut être que Jenny et Bill c'est mieux. Imagines, je sais que c'est peu probable mais on ne sait jamais, qu'on fait une ligne pour personne âgés ! Bien que ça pourrait peut-être leur donné un sentiment de jeunesse... Mais au moins on sait qui sont les créateurs ! C'est une excellente idée je trouve. Vraiment bravo, j'adhère totalement. Avec J&B sentez vous Jeune et Beau !

Elle se mit à rire devant son slogan totalement pourri. Bill avait toujours été très fort pour trouver des noms, savoir ce qui pourrait plaire aux gens. Elle aimait bien ce nom et il lui semblait qu'ils pourraient en faire n'importe quoi. Elle porta sa coupe à ses lèvres et but une gorgée de champagne.

Il faudra ensuite que nous nous mettions d'accord sur quelques détails juridiques pour les droits de l'entreprise. Mais je te fais confiance, je sais que tu ne chercheras pas à m'arnaquer et que ce sera un vrai 50, 50.

Oui pas folle la fille, elle ne voulait pas trop parler bisness avec Bill mais il était évident qu'il se partagerait tout. Elle déposa un doux baiser sur sa joue, comme si cela confirmer la confiance qu'elle avait en lui.

- J’adore ton slogan c’est juste génial, avec ca on va faire fortune c’est certain. C’est sur que Jenny and Bill ca sonne tout de suite plus classe, parce que nos noms sont aussi parfait que nous. C’est vrai qu’il est peu probable que l’ont ce lance dans une collection pour personne âgées étant donné que à notre rangs social les collections vont aussi bien aux enfants de 12 ans qu’aux personnes de 60 ans. Au pire on pourra toujours créer une option de sur mesure en faisant bien évidement payer une taxe supplémentaire.

Il vida lentement sa coupe de champagne. C’est vrai qu’il n’avait pas pensé au point juridique de tout cela, pour lui il était logique qu’il fasse cinquante/cinquante avec son amie, d’autant plus qu’elle allait faire une bonne partie du travail aussi et donc cet argent lui revenait de droit. Et puis elle avait aussi une part sur le nom de la marque puisqu’il était composé de leurs deux noms.

- Si tu veux on appellera un avocat et le notaire pour mettre tout ca au moins mais je ne pense pas qu’il y ait de gros problème. Il suffit qu’on investisse chacun exactement la même somme et que l’ont ce partage tout les revenus, hors salaire des employés, et cela ne posera pas de problème. On paye chacun la moitié du lieu que nous allons acheter ensuite on voit. Bien sur la première collection sera créée par moi mais comme tu vas t’occuper du design de la boutique on peu dire que les deux ce compilent donc on pourra partager les gains. Ne t’en fait pas je ne compte pas te rouler, je dirais plutôt même que vu la façon dont je gère mon argent il y aurait plus de chance pour que ce soit toi qui me roule que le contraire.

Bill rigola lui qui dépensait sans compter le nommer responsable d’un budget était une décision hautement risquée, même si Bill ne faisait que presque que des investissements utile. Ou du moins utile pour lui.

Une bonne idée, rajouté des frais pour tout ce que le client voudra en plus. D'un coté ça paraissait logique, soit on achète le vêtement tel quel et on paye le prix annoncé, soit on décide de rajouter des choses, d'ajuster la taille, et ça revient plus cher. Ils allaient être intraitable niveau bisness.

J'aime cette idée, on pourrait aussi penser à habiller des célébrités. Il ne faudra pas hésiter a prêter nos créations le temps de soirée histoire que les gens les voient bien. Je ne m'inquiète pas trop, après tout toi et moi on sait parfaitement ce qui plait aux clients. Il me semble que nous sommes assez sévère avec les couturiers pour être de parfait vendeur.

Radicale, rien de tel qu'être un acheteur sévère pour pouvoir le plus parfait des vendeurs. A croire qu'ils étaient vraiment nés sous une bonne étoile. Que ces années passées à faire peur aux différentes boutiques n'avaient pas été faite dans un simple caprice. On pourrait croire que tout avait était préparé depuis leur naissances, jusqu'à leur prénom !

A partir du moment où tout est clair entre nous je pense que nous n'aurons pas de problème. Toutefois il faudra quand même faire appel à un notaire, histoire que tout soit bien légale. Je ne veux pas que tu penses que c'est un manque de confiance, bien au contraire, de cette manière nous seront tout les deux protégés... Je parle juridiquement bien sur.

Oui, elle avait l'esprit un peu mal tourné parfois. Elle adressa un grand sourire à Bill et reprit une autre gorgée d'alcool. Elle commençait à sentir les effets des différents verres qu'elle avait bus pendant la journée. Elle espérait juste qu’il ne s’en rendrait pas trop compte.

Bill s’était douté que Jenny apprécierais son idée, faire payer plus cher les clients qui en demander plus, c’était tout ce que eux détestait mais c’était ce qu’ils adoraient faire subir aux autres. Tout cela allait marcher du tonnerre le brun n’avait aucun doute, peut-être plus tard pourraient-ils même ce lancer dans une gamme de moins bonne qualité pour les gens pauvres. Il mit cette idée en stand-by elle n’était pas sur la liste des priorités.

- Tu pourras porter tes propres créations pour les grandes soirées ou nous seront invité. D’autant plus que en tant que créateur, représentant, ambassadeur et mannequin de la marque on risque d’être invités à pas mal de soirée on aura donc pas mal d’occasion de montrer la collection et comme dans ce genre de soirée tout le monde demande toujours ou à été acheter telle ou telle chose ca nous fera une pub d’enfer.

Bill n’avait aucune honte à dire qu’ils s’appropriaient tout les titres et qu’ils allaient empocher un maximum, c’était aussi en partit pour ca que les gens les envieraient. Car à moins de perdre beaucoup d’argent ils n’auraient pas besoin d’investisseur et tout leur reviendrais.

- Je pense que l’ont aura pas de problème. On aura juste à tout payer puis à ensuite ce partager en par équitable ce qu’il restera, je pense que ca ne devrait pas être si compliqué. Par contre moi et la paperasse ca fait deux donc je pense que on laisserait les gens qui s’y connaisse gérer en fonction de nos conditions. Sauf si bien sur tu veux t’en charger.

Bill ne préférais pas ce prendre la tête avec ca. Encaisser l’argent et faire ce qui lui plaisait : oui. Mais gérer tout le bazar administratif et perdre des heures à devoir relire les contrats et les petites lignes des dossiers il préférait embaucher quelqu’un pour le faire pour lui et lui dire de faire attention sur certain point. Il n’était la que pour profiter, s’amuser et signer les papiers important avec Jenny. De plus il avait en horreur les impôts et les gens de la justice qui venaient toujours leurs casser les pieds alors qu’il payait déjà une somme exorbitante pour que les petits pauvres puissent aller à l’école.

Elle adorait la manière dont il parlait. En fait il savait parfaitement comme la faire rêver, et rien que pour ça elle ne pouvait plus se passer du brun ! Elle s'y voyait déjà et elle le voyait déjà.

On sera tellement parfait toi et moi... Ca ne pouvait pas mieux tomber je pense. Nous avons était créer pour se métier, cet univers... A croire que c'est dans nos gènes, enfin surtout dans les tiens. Tu as tellement de classe, j'espère que tu t'en rends compte ! Surtout quand c'est moi qui te le dis.

Se charger de la partie juridique ce n'était pas vraiment son truc non plus. Elle était capable de négocier sec sur un contra ou quelque chose en approchant, mais pour la vraie gestion il lui fallait quelqu'un... Et quelqu'un de confiance ! Ca impliqué qu'elle allait encore devoir séduire un avocat et qu'il tombe totalement amoureux pour qu'il s'en charge.

Tu sais quoi ? Nous avons des avocats c'est fait pour ça. On sait ce qu'on veux, nous voulons être honnête l'un envers l'autre et nos avocats devront suivre cette voie. Nous n'aurons plus qu'à relire et le tour sera joué !

Ca avait l'air si simple dit comme ça. Les impôts elle s'en foutait pas mal, elle n'avait qu'à se priver de dessert pendant une semaine et c'était fini. Elle posa sa coupe vide sur la table basse et s'enfonça un peu plus confortablement dans le canapé.

Si Bill n’aurait pas été habitué il aurait déjà rougit devant autant de compliments. Jenny était toujours entrain d’étaler sa perfection et sa richesse devant tout le monde sauf devant lui. Cela ne déplaisait pas spécialement au brun qui avait l’impression d’être tout en haut d’un podium en or mais il avait souvent du mal à comprendre.

- J’ai une certain classe je veux bien le reconnaitre et même si mon style ne fait pas l’unanimité je veux bien croire que je suis à la pointe de la mode mais je ne suis pas non plus dieu. Enfin du moins pas encore… Peu être qu’un jour ca arrivera, mais je sais que ce jour la tu y seras pour quelque chose. J'en suis sur.

Il lui sourit ponctuant sa phrase par un petit clin d’œil, Bill avait un certain talent pour les phrases qui voulait tout dire et en même temps rien du tout. Pour des phrases que chacun interprétait comme il voulait. Lui ne ce souciait pas de toute la paperasse, de toute façon aucun avocat ne serait assez bête pour tenter de mettre le foutoir au risque de ce retrouver en procès et il savait d’avance que raison ou tord il allait perdre. Ils n’avaient donc pas de soucie à ce faire sur ce point la.

- Je suis sur que tout ira pour le mieux. Toute cette paperasse ce n’est que des détails, ce n’est pas ca que l’ont va vendre mais notre image et nos sublime vêtements. Une fois que ceci sera fait nous n’aurons plus aucun problème, il nous faudra juste je pense quelques papiers pour posséder le terrain et ce genre de chose mais je pense que pas grand monde ce mettra au travers de notre chemin. A moins d’être complètement fou.

Bill ne devait pas toujours chercher à comprendre le comportement de Jenny. Enfin elle espérait qu'il ne se posait pas trop de question, savoir pourquoi elle pouvait être parfois si gentille avec lui. A vrai dire elle ne le savait pas vraiment elle même. Peut-être qu'elle avait vraiment une amitié sincère et aveugle envers lui. Peut-être même qu'elle était fière de lui. Elle rit doucement en entendant sa phrase. Dieu, pas encore mais un jour il serait bien capable d'y arriver !

Ne t'inquiètes pas si un jour tu deviens Dieu je serais à tes cotés ! Et même si tu n'es pas Dieu je resterais avec toi... Enfin je ne voudrais pas non plus que tu penses que je vais te coller jusqu'à la fin des temps au point de t'étouffer. Je pense juste que des petits compliments de temps en temps ne font pas de mal, surtout si ils sont vrais.

Un sourire termina sa phrase. Elle se demandais si elle ne commençais pas a en dire un peu trop. En général ça allait bien puisque Bill était aussi attaqué qu'elle mais la il avait eut le temps de décuver... C'était pas bon pour elle ! Elle écouta le discours sur les avocats ponctuant les phrases du brun de quelques hochements de tête.

Pourquoi est-ce qu'on s'inquiète nous sommes vraiment très bien et nous n'y sommes surtout pas encore. On va devenir riche et encore plus célèbre qu'avant.

Elle sourit gentiment et posa sa tête sur l'épaule de son ami. Elle commençait a être crevé et pour ne pas dire trop de bêtise elle préférait se reposer. De toute façon elle n'avait pas besoin de parler tout le temps.

Bill rigola, il n’avait pas pour réelle ambition de devenir Dieu, il savait que surement quelque personne le traitait déjà de la sorte ou du moins ils n’étaient pas loin de le penser ainsi. Mais avoir le monde à ses pieds ne l’intéressait pas vraiment il voulait avoir du pouvoir mais un pouvoir que l’on pouvait contester afin qu’il puisse avoir tout le loisir de faire un scandale. Ils y avaient toujours des mécontents et c’était ce que Bill aimait il voulait savoir qui aurait le cran de le remettre en place ou bien si les gens continueraient éternellement à lui manger dans la main et à exhausser ses souhaits.

- Ne t’en fait pas, si je deviens dieu il y aura une place pour toi sur mon trône en or. Je te ferais même élire courtisane numéros un ou bien maitresse officiel de Dieu je ne sais pas. Et crois moi je ne me plains pas de tes compliments, ils ne reflètent peu être pas tous ce que je pense être mais ce que tu dis est sincère comparé à ceux du reste des gens.

Bill appréciait les compliments de la jeune femme même si il commençait à ce dire que pas mal était prononcé à cause de l’alcool et de la drogue qu’elle avait pris. Il la surveillait du coin de l’œil, pour une fois que lui était sobre il voulait en profiter pour prendre soin d’elle. Il s’assit en tailleur sur le canapé en souriant.

- Nous n’y sommes peu être pas encore mais crois moi ca va arriver vite. Enfin pas la vente mais surtout les préparatifs à moins de laisser tout ca trainer mais sinon le temps de tout mettre au point je pense que dans un moi et demi ou deux mois nous pourrons ouvrir.

Il l’enlaça doucement la laissant ce reposer tranquillement, la soirée n’avait pas vraiment été de tout repos et il ce doutait que sans lui la jeune femme avait du passer des vacances plutôt sobre il fallait souvent une petite semaine d’adaptation pour reprendre le rythme. Il passa doucement une mèche de ses cheveux derrière son oreille.

- Tu devrais aller dormir, je vais aller remettre en cuisine tout ce qui traine. Tu m’as l’air bien fatiguée.

Mais que Bill ne s'inquiète pas. Même en devenant Dieu il serait contesté ! C'est vrai, la plupart des gens ne croyaient plus vraiment en Dieu. La seule différence c'est qu'en était l'être suprême il pourrait écraser tout ceux qui ne sont pas gentils... Un peu comme ils faisaient déjà en fait. Elle se pinça les lèvres et fit un petit oui d'approbation avec sa tête en entendant courtisane numéro un, ou bien maîtresse officielle. Même si dans ses vagues souvenir Dieu n'avait ni siège en or, ni maîtresse !

Je n'avais pas souvenir que Dieu avait des maîtresses mais je ne suis pas contre. A partir du moment où je suis numéro un. Par contre il faudra me definir le rôle exact de la maîtresse, ce qu'elle peut faire ou non. Je ne te demande même pas l'exclusivité, regarde comme je suis gentille !

Elle se mit a rire et imagina deux secondes le nombre de maîtresses que Bill pourrait avoir si il le voulait... Au final le chiffre qui lui vint en tête était faramineux et elle était bien contente de se dire que dans une autre vie elle pourrait toute les écraser en faisant remarquer qu'elle était la première. Bien que c'était un poste à risque tout le monde voudrait la tuer pour prendre sa place !

Ca va être du travail mais effectivement dans 2 mois je pense aussi que nous pourrons être au point. Peut-être qu'on va perdre un peu de temps avec l'administration mais je suis certaine qu'ils se bougeront un peu plus vite pour nous. Le plus important étant sûrement de trouver un local digne de nous très vite.

Le local serait le reflet de leurs créations ils ne pouvaient vraiment pas se rater sur leur emplacement ni même sur sa décoration. Par contre elle sursauta en entendant les paroles du brun. Bill… Cuisine… Remettre ? Des mots qu'elle ne voulait pas entendre !

Non mais ça va pas ? Tu ne vas pas non plus faire le ménage ! Tu es mon invité et tant que tu seras ici tu ne touchera a rien qui puisse faire penser au ménage. Je ne m'occupe pas assez de toi, je manque à tous mes devoirs.

Elle se redressa bien déterminé à s'occuper de Bill. Un air sûre d'elle sur le visage elle le regarda dans les yeux.

Tu veux un massage ?

C'était venu comme ça, il n'avait pas l'air de manquer de grand-chose en fait.

Bill rit à la remarque de la jeune fille, si il était dieu il ne serait pas n’importe quel Dieu. Il serait surement le dieu du sexe et de la débauche et il ferait certainement pâlir Apollon par sa beauté. Bill était presque parfait et il le savait, il ne s’en cachait pas et n’essayait pas de jouer les modestes.

- Mais si voyons. De nos jours dieu est gay, il a des amants et des maitresses, il ne s’habille que chez les plus grande marque. Il est parfait en tout point et sait aussi bien cuisiner que coudre ou jouer de la musique. Il rend jaloux Apollon et arrive à ce que Narcisse aime quelqu’un d’autre que lui-même. Personne ne peu l’égaler.

Bill s’imaginait bien sur le mont Olympe avec Jenny et Tom à ses côtés et puis Artémis et Aphrodite qui essayeront de le draguer. Pourquoi l’Olympe ? Tout simplement parce que aux yeux du brun les dieux grecs sont ceux qui ont le plus de valeur. Il est presque impensable qu’une seule personne ait tous les pouvoirs alors que là quelqu’un dirigeait et chacun avait sa spécificité un peu comme dans une grande entreprise, c’est ce qu’il aimait.

- Il doit bien y avoir une place avenue Montaigne ou sur les Champs Elysée pour nous ne t’en fait pas. Demain je passerais au K.Magasine pour vérifier ou en est ma collection et pour prévoir une grande double page sur la boutique. Je vais aussi décommander Heidi Klum et je vais faire en sorte que nous soyons en couverture. Il faudra surement que tu passes au Magasine pour le photoshoot. Je te laisse trouver un local et tu as carte blanche pour la déco je suis sur que tu feras quelque chose de classe.

Bill attendait que savoir si oui ou non Jenny allait ce coucher quand la jeune demoiselle sembla ne pas aimer que Bill ce sente responsable de la vaisselle ou de quelque chose comme ca. Il la regarda en riant, elle avait l’air d’un coup beaucoup moins fatigué et cela le fit sourire même si ca n’avait en aucun cas été son but premier.

- Un massage ? C’est une très bonne idée. Tu veux que j’enlève mon t-shirt pour que ca soit plus simple ?

Oh mais quelle bonne idée, un corps de Dieu grec ! Il avait les bonnes références pour cet emploi en plus. Par contre elle ne put se retenir. Elle explosa de rire pendant son petit discours. Toujours très modeste, mais c'est ce qui faisait leur charme.

Bill chéri, si Dieu a des amants ET des maîtresses je suis heureuse de t'apprendre que dans ce cas il n'est pas gay mais bi. Mais pour le reste tout est parfait, tu ne serais même pas le Dieu de l'amour mais quelque chose d'encore plus fort. C'est dire si c'est beau.

Sur les Champs c'était tout de suite mieux. Elle aimait vraiment beaucoup cette avenue, c'était un peu sa deuxième maison. Elle ne dit rien quand il parla de décommander Heidi Klum comme si c'était quelque chose de tout à fait naturel.

Je te ferais ça dans la semaine, j'ai déjà une petite idée. Il me semble avoir vu une place pour nous, mais je ne préfère pas m'avancer tant que je n'ai pas les papiers dans les mains.

Autant ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué... Même si elle faisait ça tout le temps, ce n'était pas une raison pour recommencer ! Elle prit un air désespéré. Garder un t-shirt pour un massage c'était un crime.

Retire le sinon je vais le froisser ! Et pendant que tu y es allonge toi sur le canapé ce sera plus pratique. Tu veux la version basique ou la version de luxe avec huile de massage et compagnie ?

On ne fait pas les choses à moitié. Tant qu'à s'occuper de lui autant y aller à fond. Elle se mit à coté du canapé attendant que Bill ait fini de s’installer.

Le brun rigola doucement certes les propos de la jeune femme était logique mais Bill préférait toujours dire qu’il été gay même si il lui arrivait de coucher avec des femmes.

- Mais Dieu aura des maitresses mais tout le monde sait qu’il préfère largement les hommes, les services trois pièces bien en forme il adore. Et puis à quelques exceptions près les femmes me veulent pour mon argent et à la rigueur pour mon cul, alors que les hommes et bien je peu les dominer plus facilement et c’est tellement plus marrant.

Bill rigola, il écouta les dernières informations de la petite brune à propos de leur futur magasin. Il n’avait pas besoin de preuves il connaissait assez bien Jenny pour être sur qu’elle ferait le bon choix et qu’elle ne choisirait rien qui pourrait risquer de leur porter préjudice ou autre. Et puis de toute façon il ne voyait pas quel intérêt aurait la jeune femme de faire couler sa propre entreprise et de détruire ses seules chances de liberté et d’autonomie. Il s’allongea sur le canapé suivant les ordres de la demoiselle et enleva son t-shirt laissant apparait ses nombreux tatouages et son piercing.

- Je veux ce que tu as de mieux.

Elle ne pouvait que sourire, c'était tellement vrai. Bon après qu'il aime les services trois pièces ou pas elle s'en foutait pas mal. Au contraire, au moins elle pouvait envoyer Dieu histoire de voir si elle ne se trompait pas sur l'orientation de sa future victime.

Ca c'est parce que tu ne met que des femmes de seconde main dans ton lit ! Tu devrais tester un peu plus souvent les vraies femmes... Et si Dieu n'arrive pas à dominer les femmes et bien là... Je ne peux rien pour toi.

Elle se mit à rire. Bill avoir des problème pour dominer qui que ce soit c'était tout de même peu probable. En attendant le jeune homme avait retiré son t-shirt et elle fut bien surprise d'y trouver un piercing. Elle passa rapidement un doigt dessus et leva un sourcil intrigué.

C'est nouveau ça. Ou alors ça fait bien longtemps que je ne t'ai pas vu torse nu. En tout cas fait attention, pendant certaine soirée ça peut devenir douloureux pour toi. Enfin moi j'dis ça, j'dis rien !

Elle partit dans la salle de bain chercher les petites huiles en question. Elle retourna rapidement dans le salon, retira ses nombreuses bagues et sourit à Bill. Elle le tourna histoire qu'il se retrouve allongé sur le ventre et s'assit sur lui. Elle retira les quelques cheveux qui la gêné, mit de l'huile sur ses mains et commença à lui masser consciencieusement les épaules. Elle y mettait tout son savoir faire et puis ce n’était pas vraiment la première fois qu’elle faisait ça.

Bill rit puis repris un moment son sérieux. Il n’avait pas de problèmes pour dominer qui que ce soit n’importe qui ce mettait à son service juste pour lui faire plaisir et n’importe quelle femme qui mettait dans son lit réaliserait les fantasmes les plus tordus juste parce qu’il était Bill Keller, il n’avait donc aucun soucis à ce faire de ce côté-là.

- Les femmes sont juste plus… plus chiantes et surtout plus fragile. J’ai beau être un enfoiré j’ai quand même du respect pour la gente féminine et je fais attention à ce que je fais. Les hommes c’est différent, un homme doit être plutôt fort ou du moins à quelques aptitudes pour ce battre je peu donc les malmener et je m’en donne à cœur joie.

Le brun sourit quand la jeune femme remarqua son piercing, il était en effet nouveau et il l’avait fait un peu sur un coup de tête mais désormais il lui plaisait bien. Il écouta les mises en garde de la jeune femme mais il préféra en rire plutôt qu’autre chose. De toute façon avec ou sans ca toutes les soirées qu’ils faisaient étaient potentiellement dangereux.

- Je m’y ferais et puis si on doit arriver à un point ou ca dois me faire mal c’est que je suis déjà bien déchiré, il y a donc vraiment peu de chance pour que je sente une quelconque douleur. Et au pire je m’en remettrais ne t’en fait pas.

Allongé confortablement il attendit que Jenny revienne avec les produits il sentait qu’il allait passer un agréable moment, de plus il adorait ce faire chouchouter.

Si elle avait était engagé dans une lute féministe Bill en aurait certainement prit pour son grade. Mais dans la a dire que les jeune femme sont des petites choses fragiles... Ca pouvait être très vexant pour elle tout de même.

C'est gentil d'avoir du respect pour la gente féminine mais ne crois pas qu'une fille est plus fragile qu'un homme ! On est plus discrète dans notre manipulation c'est tout, une femme c'est beaucoup plus subtile.

Elle se demandait pourquoi elle cherchait à faire de la pub aux femmes. Elle savait très bien qu'il ne changerait jamais de bord, qu'il aimerait toujours les hommes beaucoup plus mais c'était plus fort qu'elle. Bill était certainement mazo ne même plus se rendre compte de la souffrance. Elle haussa les épaules, elle comprenait en fait, elle avait déjà été dans un état pareil.

Oui mais ça serait tout de même dommage que ce joli petit torse soit privé d'un de ses téton. Au pire tu te fera faire de la chirurgie ça ne coûte pas si cher que ça après tout !

Bien loin de la douleur la demoiselle passait ses petites mains fines et délicates sur la peau incroyablement douce du brun. Elle massa tendrement sa nuque et descendit doucement vers les épaules.

Le brun rit, pour une fois qu’il était plutôt aimable en parlant des femmes Jenny y trouvait quelque chose à redire. Ce n’était pas que Bill ait un problème particulier avec elles. Il les trouvait juste, pour la plus part, juste bonne à porter à gamin. Il préférait donc sans aucunes hésitations les hommes, au moins il pouvait faire ce qu’il voulait sans aucun risque de ce retrouvé avec un gamin à nourrir.

- C’est aussi surement pour cette raison que les femmes on en leur honneur beaucoup plus d’insulte que les hommes.

Il subit en riant le regard noir de sa meilleure amie. Bien évidement ses généralité immonde ne s’appliquait pas à elle mais elle espérait toujours faire changer Bill d’avis sur les femmes, c’était une cause perdu le brun n’allait pas virer de bord.

- Ne t’en fait pas personne ne me fera de mal, je sais me défendre et je ne pense pas que quelqu’un essayer de s’en prendre à moi. Même complètement défoncé les gens ne s’aventure pas à faire ce genre de chose à moins d’être totalement suicidaire.

Il laissa les mains expert de la jeune femme ce balader sur son dos, c’était vraiment super. Il ferma les yeux profitant de la douceur et du calme, il se sentait vraiment apaisé.

- Tu es super douée.

Il n'avait pas tord mais tout de même, elle ne pouvait pas laisser l'honneur des femmes mourir. Même si elles étaient toute beaucoup plus nulles qu'elle, ça ne les empêchées pas d'avoir un minimum d'intelligence. Ou du moins cette subtilité typiquement féminine.

Bof, tout le monde pense que les femmes sont nulles, beaucoup moins futées que les hommes. Mais je suis certaine qu'au fond, une fois de temps en temps, tu n'es pas contre une nuit avec une charmante demoiselle... Ose me dire non Bill et je te jure que tu passes par la fenêtre !

De toute façon elle avait de quoi prouver le contraire ! Depuis le temps qu'ils se connaissaient ils avaient largement de quoi détruire la réputation de l'autre.

De toute façon si tu as une soudaine envie de fille, tu sais où en trouver.

Elle savait parfaitement qu'il aimerait les hommes jusqu'à la fin de sa vie. Elle se doutait même que certains problèmes typiquement féminin l'aidait dans sa préférence masculine, mais elle n'était pas contre passer un peu de bon temps avec lui de temps en temps... Quand ils sont défoncés... Ou qu'ils s'embêtent... Enfin dans ce genre de cas quoi.

Tu as certainement raison, mais tu me raconteras le genre de sensation que cette petite chose peut t'apporter... Comprend que je ne pourrais jamais avoir ça !

Elle se mit à rire en imaginant ce même piercing pour elle. Oh non, définitivement ce n'était pas pour elle, de toute façon elle devait éviter ce genre de chose.

Merci, j'aime bien masser les gens... Enfin ça dépend qui aussi.

Elle continuait et descendait lentement ses mains jusque sur le bas du dos. Elle ne s'aventura tout de même pas plus loin, autant resté correcte. Elle s'attarda un moment sur les reins de l'androgyne puis revint jusqu'aux épaules, passant ses mains un peu plus sur l'avant pour tenté de toucher son torse.

Bill ne pensait pas que les femmes étaient nulles ou inferieur. Il pensait juste qu’elles n’exploitaient pas assez leurs talents. Si toutes les femmes avaient été comme Jenny forte, dominatrice et ambitieuse Bill serait surement resté hétéro mais ce n’était pas le cas. Trois quart d’entre elle ne voyait pas plus loin que le bout de leur nez refais et leur ongles parfaitement manucurés. Aller chez le coiffeur et remplir leur garde robe était leur seul préoccupation.

- J’ai déjà passé quelques nuits avec de très charmante femme… Dont toi. Cependant ces quelques là sont l’expression à la majorité et je n’aie pas le temps de vérifier à chaque fois si je tombe sur une vrai femme ou sur une gourdasse.

La conversation était plutôt posée, c’était un sujet ou de toute façon ils camperaient tout deux sur leurs positions il était donc préférable qu’ils en parlent à cœur ouvert, disant librement ce qu’il en pensait.

- Je crois que j’ai tout ce qu’il me faut sur le palier d’en face.

Il lui fit un petit clin d’œil, il lui était souvent arrivé de finir la nuit dans la chambre de Jenny ou bien que Jenny passe la nuit chez lui. Pour eux cela ne signifiait aucunement la naissance de sentiment amoureux, c’était juste bien et ils estimaient qu’ils n’avaient pas à ce privé des bonnes choses.

- Et bien tu as du talent pour les massages, je suis sincère. Je ne vais pas souvent dans des spas mais je peu te dire que tu es douée.

Bill se laissait tranquillement aller dans les douces main de son amie.

Elle se retenait autant qu'elle pouvait. Elle ne parvint cependant pas à arrêter un léger sourire sur ses lèvres. Quelque chose la dérangée tout de même, elle savait parfaitement qu'elle n'avait pas été la seule mais QUI passait pour une charmante femme ?

Très charmante je n'en connais qu'une ! Tu devais être bien bourré ce soir là si tu t'imaginais que j'étais plusieurs. Tu as bien de la chance, moi je m'embêté encore à savoir si l'homme que j'ai en face de moi est à peu près bien.

Ils n'étaient pas du tout sur le point de crier, ou de se lancer l'écran plasma dans la tête. Pas du tout ! Ils en parlaient comme ils auraient parlé de cocktail ou d'un autre sujet totalement bateau. En réponse à son clin d'oeil elle lui envoya un baisé invisible.

Nous avons un grave problème je pense... Nous ne l'avons jamais fait sur le palier ! C'est à faire, je suis sûre que le coté voyeur peut être très excitant.

Elle était totalement sérieuse ils ne l'avaient jamais fait et à ses yeux c'est un pure scandale !

Pourquoi aller dans un Spa quand tu as une si charmante voisine ? Si tu veux tu peux même finir dans le jacuzzi.

L'avantage d'être riche. Elle avait de quoi ouvrir un Spa dans sa maison.

Le brun eu un sourire rieur et légèrement moqueur. Il n’était pas certain de pouvoir dire que Jenny était jalouse mais cela y ressemblait. Il n’aurait pas peu non plus dire si elle était mécontente que d’autres filles soient charmantes ou bien que Bill ait couché avec d’autre fille qui pouvait l’égaler.

- Rassure toi je ne vois pas double et je n’aie pas encore besoin de lunette. Mais il m’est arrivé de coucher avec d’autre femme que toi. Une en Australie qui était plutôt pas mal, une mannequin qui avait l’avantage de ne pas ressembler à un squelette ambulant l’an dernier à Paris et deux autre dont je ne me souvient pas. Mais tu reste la plus belle de toute et surtout ma préférée.

Jenny ne pouvait que être sa préféré puisque de toute façon il ne ce souvenait que vaguement des autres. Et il aurait été incapable de cité un de leur noms. Bill réceptionna en souriant le baiser invisible de la jeune fille avant de rire. C’était vrai que le palier pouvait être excitant à condition que la grosse voisine ne sorte pas à ce moment la et que leurs parents ne choisissent pas ce moment la pour rentrer du travail.

- On devrait essayer et pendant qu’on y est on devrait essayer le jacuzzi, je suis sur que c’est aussi quelque chose à faire. Et sur le balcon avec une sublime vue sur Paris tu imagines…

Il lui sourit tendrement, toutes ses idées étaient bonnes à prendre car même si ils ne les concrétisaient pas ensemble il y aurait toujours moyen de les tester avec quelqu’un d’autre.

Jenny se rembrunit. C'est qu'il continuait en plus ! Et blablabla, d'autres filles et blablabla ! Elle n'était pas du tout jalouse qu'elles aient couché avec Bill, non ça elle s'en foutait, elle ne supportait juste pas qu'elles soient charmante ! De toute façon elle avait toujours eut pour habitude de descendre les autres femmes avant qu'elles n'arrivent à faire quelque chose de bien. Par contre elle sourit sur la fin, ça lui allait tout de suite mieux.

Ne t'inquiètes pas j'ai un scoop, moi aussi j'ai couché avec d'autres hommes que toi. Mais tu restes mon gay préféré autant le dire tout de suite.

Elle lui sourit, et pourtant Dieu sait qu'elle en connaissait un paquet de gay ! Seulement quoi qu'elle fasse Bill resterait toujours spécial par rapport aux autres, non pas parce qu'elle était amoureuse de lui mais uniquement parce que c'était bien.... Et qu'il n'y avait pas que des nuits de ce genre entre eux.

Oh mon Dieu le balcon ! Tu sais l'ordre logique serait de commencer sur le palier dans le noir, continuer sur le balcon et finir dans le jacuzzi. C'est un ordre logique et sûrement très plaisant.

Elle se sentait bien de faire le tout elle.